À 31 ans, après des années salarié et sans diplôme, Alexandre Ferrero décide de se lancer dans l’entrepreneuriat.
Il n’a aucune idée de la manière dont on gère une entreprise, mais il a une chose qui l’aidera à surmonter tous les obstacles : sa détermination.
7 ans plus tard, il est à la tête d’une entreprise qui tourne bien avec une vingtaine de salariés et une envie profonde : transmettre ce qu’il a vécu à d’autres entrepreneurs.
Parce que la solitude de l’entrepreneur est réelle.
Parce que personne ne nous prépare aux bouleversements que cela apporte dans une vie.
Parce qu’on a une mauvaise image des patrons (non, ils ne roulent pas tous en Porsche et non, ce n’est pas facile de faire 10K/mois).
Dans son podcast Mes premières fois dans l’entrepreneuriat, Alexandre se livre sans tabou et avec une grande authenticité.
J’ai voulu comprendre ce qui l’avait poussé dans cette démarche et comment il exécute au quotidien ce side project qui ne lui rapporte pas d’argent pour l’instant.
Ça donne un épisode riche en apprentissage. Créer du contenu n’a pas toujours pour objectif d’attirer des clients. Parfois, il s’agit simplement de se faire kiffer.